vendredi 1 juillet 2005

Le striptease de kokopik

J'aimerais tant me débarasser de cette écriture parabolique. J'ai perdu la légèreté sur les gradins de l'amphi. Je voudrais une écriture tangente à mon cerveau et qui colle plus à ma peau. Comme celle de koko contant ses femmes. Femmes dans le texte. Femmes prétexte pour une rêverie sans sensiblerie. Femmes fantasmées et rêvées peut-être. Femmes vécues probablement. Femmes épinglées. Femmes caricaturées. Femmes intimes. Femmes savourées. Femmes absolument aimées.
et dans son salon ... des bouts de femmes. les tête pleines et bien faites, l'esprit vif et omniprésent, la réplique drôle, intelligente et légère, la vision lucide, les projets pragmatiques et motivants, le coeur grand.

J'ai rencontré sonia chez Koko, je vais de ce pas lui rendre visite.

1 commentaire:

  1. Cher GarAwal,
    le propre d'une femme c'est justement d'être tout cela à la fois. Si on en trouve pas c'est que nos lunettes gagnent à être remises au point... (je dis cela parce que c'est samedi soir, il se peut bien qu'il en soit autrement demain matin :) )

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