Texte intégral ici ici lire aussi "Le Serpent" et "L'Enfant brûlé".
J'éjaculai un texte différent de tout ce que j'avais écrit jusque-là : un crépitement de balles et une montée de hurlements étouffés. Par ce texte je compris que je devais m'engager une fois pour toute dans la voie de la guérilla linguistique ! Mais je devins complètement fermé pour autrui. [...] Je n'écoutais plus que le rythme saccadé des choses................{dixit Khaïr-Eddine} (*) graine de parole - blog à céder !
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mon dieu quelle profondeur...
RépondreSupprimerbvblt
"lorsque mon désespoir me dit : Perds confiance, car chaque jour n’est qu’une trêve entre deux nuits, la fausse consolation me crie : Espère, car chaque nuit n’est qu’une trêve entre deux jours."
RépondreSupprimer"tout ce qui m’arrive d’important et tout ce qui donne à ma vie son merveilleux contenu : la rencontre avec un être aimé, une caresse sur la peau, une aide au moment critique, le spectacle du clair de lune, une promenade en mer à la voile, la joie que l’on donne à un enfant, le frisson devant la beauté, tout cela se déroule totalement en dehors du temps. Car peu importe que je rencontre la beauté l’espace d’une seconde ou l’espace de cent ans. Non seulement la félicité se situe en marge du temps mais elle nie toute relation entre celui-ci et la vie."
"ce qui est parfait n’accomplit pas de performance : ce qui est parfait œuvre en état de repos."
à la quète/reconquète du repère.
merci Laseine
ça y'est j'ai compris, oui je pense avoir compris qu’à travers la clarté de ces lignes, sortant du néant, surgit enfin la lumière, libérée des ténèbres du temps.
RépondreSupprimerQuant à ma folie des circonstances atténuantes, elle n'est que de "pas-sage".
o mon dieu ,Je suis dépourvu de foi et ne puis donc être heureuse, car une femme qui risque de craindre que sa vie soit une errance absurde vers une mort certaine ne peut êtrePuisque je suis solitaire : un homme aimée ou une compagnonne de voyage malheureuse. Puisque je suis poètsse : un arc de mots que je ressens de la joie et de l’effroi à bander.wâlà une raison de vivre.
RépondreSupprimerl'écart entre l'excuse et le pardon
RépondreSupprimer(un gouffre)
comme je le ressens !
et
comme je te remercie de me l'avoir remis devant l'oeil comme une aube
et devant l'oreille comme un cr
Il est sensiblement le même que celui que je perçois entre
la solidarité et la fraternité
seule la fraternité peut pardonner.
nul n'a réellement besoin de consolation.
RépondreSupprimerla consolation, c'est d'abord l'ignorance et le manque de confiance.
J'aime partir longtemps et venir gouter ce talent du bout des lèvres.
RépondreSupprimerJe n'y trempe qu'un orteil car l'eau est souvent glacée chez vous.