J'éjaculai un texte différent de tout ce que j'avais écrit jusque-là : un crépitement de balles et une montée de hurlements étouffés. Par ce texte je compris que je devais m'engager une fois pour toute dans la voie de la guérilla linguistique ! Mais je devins complètement fermé pour autrui. [...] Je n'écoutais plus que le rythme saccadé des choses................{dixit Khaïr-Eddine} (*) graine de parole - blog à céder !
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"Où laSeine se jetterait-elle si elle prenait sa source dans les Pyrénées ?"
RépondreSupprimerla tentation de dire dans tes bras aux bord de la mediterrannee (rive sud) est grande.. immense ;-)
RépondreSupprimerAh cet empecheur de tourner en rang d ange de gauche ¡
a ton avis il est de quel genre ? masculin ou feminin ?
Je sais je sais .. nous ne soññes plus a byzance
J'ai rêvé. Ma grand-mère me disait : "C'est en allant vers sa la mer que le fleuve est le plus fidèle a sa source"
RépondreSupprimerJe suis un peu perplexe ... Un peu beaucoup..
Amud> les charmeurs c’est dans l'hal9a nonlieux.blogspot.com à ta gauche
RépondreSupprimerLaSeine > Dis-moi, ta grand-mère, c’est la même qui rend halal le mechoui de sanglier dans l’oliveraie entre la source et les champs de maïs ?
Elle m’a l’air d’avoir été une femme de très grande sagesse. Alors pour une fois arrête de cogiter et suis la voi(e)(x)
Derrière un mur, un mur. au-delà de ce mur, un autre mur? Hmmm..comment résoudre celà?
RépondreSupprimerEn faisant comme Ockham qui marchait sur le fil de son rasoir, entre le néant et la multiplicité étourdissante de l'infini?
Ou plutôt en reconnaissant que si je considère ce tas de pierres comme un mur, alors je n'aurais qu'à me mettre de l'autre cote de ce mur me retourner, le regarder et me dire encore, en direction de l'au-delà d'où je viens: étant donné un mur,etc..
En parlant de Mur, j'ai un défi pour toi Laseine:
RépondreSupprimerAu sein de la capitale méditerranéenne où tu te trouves en ce moment, il y'a une sorte de mur sacrément familial, un mur où le silence est d'or, un message y est inscrit, Parviendras-tu à le décrypter?
Indice: * *** ** ** ******T *
"Je ne sais quel est le chemin...
RépondreSupprimer... Parce que chemin et route
Sont de terre, et l'important c'est d'avancer
Il est de peu de poids que la route aille à rien...
Seul vaut celui qui marche : il est celui qui vit
Ainsi, adulte de ce que j'ai voulu faire,
Je vais en cheminant vers tout ce que j'ai eu
Et sais bien que je ne pourrais pas le ravoir.
"
Merci Laseine de m'avoir fait découvrir ce génie des mots: Pessoa, un vrai bonbon :o)
> leblase
RépondreSupprimerLe problème c'est que la plus part du temps, il ne s'agit pas d'un mur, qu'on pourrait contourner, escalader, abattre mais de quatre murs miroirs (c'est cela que je voulais dire en parlant chez toi de quatre baies vitrées teintées), quatre murs donc qui vous enferment, vous emprisonnent et vous renvoient vos visions et vos illusions. Ne reste alors plus que les mots (nominalisme quand tu nous tient) pour dire ce que vous espèrez de l'autre côté du miroir.
>Zwina ô ma zwina
RépondreSupprimerTon énigme m'a habité, tout le long du séjour. Je n'avais d'yeux que pour les murs (ce qui m'a évité de m'en prendre pour une fois). Je n'avais de mots que "Shut shhhhhhhhhhhutt el silencio es de oro". Je n'avais d'ouie que pour ta voix*. Elle était tantôt rauque et dure, tantôt douce mais défiante, souvent éloquante : "à Barcelone il y a un mur, sur le mur il y a une transcription et tout autour le silence est d'or ... Parviendras-tu à décrypter ? "
STP zwina, donne moi la solution, je te donne ma langue ..
(*) la même voix dont je parle ici : http://garawal.blogspot.com/2005/05/une-voix-me-squatte.html
>Zwina
RépondreSupprimerAh Pessoa
Un jour on ira sur ses traces à Lisbonne (Pessoa et le fado)