dimanche 29 janvier 2006

Consolation



Texte intégral ici ici lire aussi "Le Serpent" et "L'Enfant brûlé".

7 commentaires:

  1. mon dieu quelle profondeur...
    bvblt

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  2. "lorsque mon désespoir me dit : Perds confiance, car chaque jour n’est qu’une trêve entre deux nuits, la fausse consolation me crie : Espère, car chaque nuit n’est qu’une trêve entre deux jours."

    "tout ce qui m’arrive d’important et tout ce qui donne à ma vie son merveilleux contenu : la rencontre avec un être aimé, une caresse sur la peau, une aide au moment critique, le spectacle du clair de lune, une promenade en mer à la voile, la joie que l’on donne à un enfant, le frisson devant la beauté, tout cela se déroule totalement en dehors du temps. Car peu importe que je rencontre la beauté l’espace d’une seconde ou l’espace de cent ans. Non seulement la félicité se situe en marge du temps mais elle nie toute relation entre celui-ci et la vie."

    "ce qui est parfait n’accomplit pas de performance : ce qui est parfait œuvre en état de repos."


    à la quète/reconquète du repère.


    merci Laseine

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  3. ça y'est j'ai compris, oui je pense avoir compris qu’à travers la clarté de ces lignes, sortant du néant, surgit enfin la lumière, libérée des ténèbres du temps.
    Quant à ma folie des circonstances atténuantes, elle n'est que de "pas-sage".

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  4. o mon dieu ,Je suis dépourvu de foi et ne puis donc être heureuse, car une femme qui risque de craindre que sa vie soit une errance absurde vers une mort certaine ne peut êtrePuisque je suis solitaire : un homme aimée ou une compagnonne de voyage malheureuse. Puisque je suis poètsse : un arc de mots que je ressens de la joie et de l’effroi à bander.wâlà une raison de vivre.

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  5. l'écart entre l'excuse et le pardon
    (un gouffre)
    comme je le ressens !
    et
    comme je te remercie de me l'avoir remis devant l'oeil comme une aube
    et devant l'oreille comme un cr

    Il est sensiblement le même que celui que je perçois entre
    la solidarité et la fraternité

    seule la fraternité peut pardonner.

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  6. nul n'a réellement besoin de consolation.
    la consolation, c'est d'abord l'ignorance et le manque de confiance.

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  7. J'aime partir longtemps et venir gouter ce talent du bout des lèvres.
    Je n'y trempe qu'un orteil car l'eau est souvent glacée chez vous.

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