J'ai eu mainte fois l'occasion de voir que les "torinesi" n'etaient pas peu fiers de leur ville qu'ils surnomment "il piccolo Parigi" le petit Paris.
Je longe le corso belgio
je tombe sur une plaque d'egout mysterieuse. regardez plutot :
Traduction :
"Services techniques de la municipalite de TRIPOLI - egouts"
Au bout de la quatrieme bouches d'egout tout redevient normal.
Voyez :
Ce que peut soulever comme question une bouche d'egout : exemple
N'est-ce pas ?
Il est 21h. Je prends le bus en me disant que j'avais la un sujet de post ...
Il y avait au fond du bus deux arabes et deux jolies filles noires. A eux quatre ils occupaient la moitie arriere du bus comme on occupe une ville recement conquise.
Mon mauvais italien me permet a peine de distinguer que l'un des mecs et l'une des filles marchandaient quelque chose.
Que cela pouvait-il bien etre ? une boutique, une coupe africaine, un telephone portable, une dose de blanche ...
Soudain la fille baisse sa culotte et s'installe sur le mec. Il la prend assis la sur son siege. On dirait la position rodee. C'est la fille qui execute tout ...
Je ne regardais plus j'entendais ... le soupire du mec qui vient d'ejaculer, le billet defroisse ...
Lui : resto
Elle : non ce resto
Lui (en mimant le vent ou plutot l'eclair) : io borsa vennnnnnnnnnn
Elle (en lui rendant la monnaie) : basta
Lui : grazie mille
Elle (en remontant sa culotte sous sa jupette) : prego
Elle s'installe sur un siege et ajuste son maquillage
Mdr
RépondreSupprimerOn aura tout vu ! Qu’en pense Sa sainteté Benoît 16 ?
Un peu glauque tout ca...
RépondreSupprimerJ'ai assisté à une scène comme ca dans un cinéma de Tanger. On y passait Trainspotting. Dans mon histoire la nana portait un foulard et le mec s'est mis à genoux devant elle.
J'étais seule au balcon, il n'y avait qu'eux et moi. Le temps que je réalise ce qui se tramait, le mec avait presque finit.
1 minute en tout et pour tout.
Une très longue minute. Je n'ai plus jamais mis le pied dans ce cinoche, je ne pouvais plus m'asseoir sur leurs sièges...
A supposer que tu avais ton appareil photo à portée de main, aurais-tu l'inspiration d'immortaliser la scène? cher laSeine ... ou la digitaliser à tout le moins? pour l'épanchement des uns et la désapprobation des autres ...
RépondreSupprimerC'est ce qu'on appelle les transports amoureux.
RépondreSupprimerLarbi, catho convaincus, ils ont mis le préservatif à l'index...:-)
pfff,dégoutant...
RépondreSupprimermais c'est le
"bestial istinct",qu'est ce que tu veux
comme quoi,l'homme est un animal jusqu'à preuve du contraire.
argh.et que disait le chauffeur de bus?
RépondreSupprimerLaseine je ne te savais pas ce côté manipulateur. Gentiment tu nous fait glisser sur une plaque d'égout vers une scène dégoutante ce qui mène immanquablement l'esprit à tomber dans le piège (égout), la plaque n'étant plus là, et faire une association d'idée plutôt dégoutante.
RépondreSupprimerEt apres c'est les hommes qu'on accuse de tous ces mots..n'est-ce pas selma :)
Sinon pour répondre à najlae, le chauffeur n'aurait pu rien dire puisque il n'y avait pas de chauffeur..le bus n'avait pas de roues, en rade qu'il était dans un terrain vague depuis la dernière guerre...laseine à de drôles de promenades...sa curiosité d'anthropologue sans doute :) :)
kb...autobiaiseur
Merci à vous tous
RépondreSupprimerHé, je débarque, tout l emonde est déjà parti vers un autre billet! Mais...pourquoi certains commentaires vont-ils jusqu'à dire que c'était dégoûtant?
RépondreSupprimerLaseine n'a-sagement-pas porté de jugement: il a juste (très bien)raconté quelque chose qu'il a vu: une scène assez extraodrinaire.
Après tout , qui sait s'il ne s'est pas passé plus de choses entre le garçon et la fille, qu'un simple coït?