mercredi 11 janvier 2006

N'as-tu pas froid aux pieds ?



21 commentaires:

  1. في بعض الأحيان تقرأ كتاب أو مقال أو قصيدة و تبقى مشدوها من شدة روعتها فتتساءل . كيف أبدع صاحب هذا ...؟ هذا ما حصل معي الآن. لدرجة أنني شعرت بالغيرة من جوليانا. سوف أعيد قراءته للمرة الخامسة. أحسنت

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  2. في بعض الأحيان تقرأ كتاب أو مقال أو قصيدة و تبقى مشدوها من شدة روعتها فتتساءل . كيف أبدع صاحب هذا ...؟ هذا ما حصل معي الآن. لدرجة أنني شعرت بالغيرة من جوليانا. سوف أعيد قراءته للمرة الخامسة. أحسنت

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  3. Tres sensible à cette musique rouillée des fantômes souvenirs et la force particulière de ces feuilles de papier, pourtant si tenues, si fragiles mais qui matérialisent dans nos nuits l'absence de leur auteur...
    Des regrets?

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  4. Tres beau laseine, tres tres bo.
    Il y a beaucoup (uniquement) de phrases courtes, beaucoup de point...
    A la fin, lors de ma deuxieme lecture (je pense) j'avais le sentiment de pleurer et de respirer à chaque point...!!

    BRAVO.

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  5. Ami laseine, je pense que tes lecteur ont le droit de lire la version française.
    De voir de leur propre yeux,
    cette froideur des pieds

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  6. Là c'est pas juste l'ami.
    On va se moquer de mes lectures daba :(

    BRAVO

    sfodd

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  7. أن نصنع جمل لك
    أن نلتقي خارج
    الخريطة,
    أن نتواعد خارج
    الزمن,
    أن نستمع إلى صمتنا,
    أن نغني همنا,
    أن نناجي همسة
    ضائعة في الأفاق,
    أن نحلق فوق
    ذواتنا المكلومة,
    أن نبحث عن وطنٍ
    لأحلامنا,
    وقبرٍ ليأسنا,
    أن نلبس الصدق
    لنعري الكذب,
    أن نهيم بأوهامنا الصغيرة,
    أن نقفز فوق عقدنا,
    أن نختلس لحظة سعادة,
    أن نغازل القمر
    و نمني أنفسنا
    بأنه لنا
    ,وحدنا
    ذاك هو جنون العاقل.
    فلا تخشى
    شيئا يا صغيري
    ودعنا نجن و نتعقل
    لتصير
    أنت أنا, وأنا أنت
    وقبل أن نصل
    للحظة الإشراق,
    ذكرني بأن الشعراء
    يقولون ما لا يفعلون.
    سأقتل جوليانا

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  8. بعد كل هذا ألا زلت تشعر ببرودة الأرجل

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  9. J ai parler un a une personne a Grenoble, qui a exprimer du respect pour parce que je lui est raconter que tu aime Jean Baudrillard, eh bien, c est idem pour moi, car tu a mis à ma disposition cette chanson de Monsieur Robert Zimerman (bob Dylan).
    PS: j ai commente l environnement de la poésie, et non pas la poésie elle même.

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  10. سلام
    تبارك الله عليك
    واعرة بزاف

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  11. J'ai lu ton poème une première fois, je l'ai trouvé sensible et beau... Je l'ai relu une seconde fois, et je l'ai trouvé triste dans sa beauté... Autant le début est porteur d'espoir (peut-être reviendras-tu?) autant la fin est triste, désespérée.
    tes mots nous font vibrer, voler, pleurer, aimer... la force de la fragilité comme qq'1 avait un jour dit sur mon blog. Bravo laseine. Bravo!

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  12. Juliana .. Juliana .. Juliana ...

    rien qu'en éppelant son prénom, j'ai l'impression de l'appeler !

    viens .. viens ..
    reste avec moi ..
    ne t'en va pas ..
    ne m'abandonne pas ..
    j'ai besoin de toi ...

    Belle femme
    Un charme .. désarmant .. énigmatique ..
    Taille fine ..
    Peau .. satine ..
    qui rougit au moindre effleurement ...
    Grands yeux noisettes ..
    Longs cheveux .. lisses .. chatains clairs ou peut être .. roux !

    Très féminine ..
    Elle raffole de la lingerie fine ..
    Sensuelle ..
    Fragile mais tellment forte ..
    Elle a appris à se détacher des autres .. d'elle même .. et puis de la vie ...
    terriblement attachante aussi ...

    on la croirait indifférente .. toutefois .. extrêmment sensible ..

    Aimée .. haïe

    Indépendante ..
    Solitaire ..
    Magnanime .....

    voilà ma juliana .. voilà comment je l'imagine ...

    Merci ;)))

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  13. Je l’ai lu une première fois et j’ai franchement détesté ces mots épars, éjaculés goutte à goutte, sans phrases. Je ne sais sûrement pas lire, comme elle d’ailleurs. Je me suis même demandée si ce n’était pas une traduction. Bref, je n’aime pas ce style, pas en arabe en tout cas.
    Par précaution, j’ai laissé de côté mon impatience me disait qu’il était impossible que je passe par ces non-lieux avec un cœur chargé d’indifférence.
    Je t’ai relu, par morceaux, comme des respirations. Et là tu as atteint mon cœur monsieur le grand artiste. Les images qui venaient automatiquement à mes yeux étaient celles de 2046. Alors j’ai mis la BO et j’ai écouté ton récit : c’était celui de chow se souvenant des femmes qui ont traversé sa vie solitaire. Des souvenirs trop lourds pour qu’il puisse aller de l’avant. Il reste immobile regrettant son passé tourmenté : « Un amour rencontré trop tôt ou trop tard ».. Comme cet encens, ton cœur se consume Laseine, libérant le nuage de tes souvenirs à ceux qui veulent bien les humer. J’aime cette générosité ou peut-être prétention. « Finesse ou finitude », les deux te conduisent inlassablement à l’agonie. Tu ne veux pas allumer la lampe parce que tu vois assez d’ombres, y’en a tellement que tu ne vois plus rien, mais
    الّضوء الأكثربعداً
    أقرب إلينا من الظّلام الأكثر قرباً

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  14. Je l’ai lu une première fois et j’ai franchement détesté ces mots épars, éjaculés goutte à goutte, sans phrases. Je ne sais sûrement pas lire, [comme elle d’ailleurs] -ce que tu écris toi qui ne sais pas écrire- moi qui ne sait pas lire. Je me suis même demandée si ce n’était pas une traduction (je doute). Bref, je n’aime pas ce style, pas en arabe en tout cas (je doute encore).

    Par précaution, j’ai laissé de côté mon impatience me disait qu’il était impossible que je passe par ces non-lieux avec un cœur chargé d’indifférence (ta voilà ravi de savoir que je ne suis pas indifférente à ton agonie lascive).

    Je t’ai relu, par morceaux, comme des respirations. Et là tu (ou ce qui reste de toi) as atteint mon cœur monsieur le grand artiste. Les images qui venaient automatiquement à mes yeux étaient celles de 2046 (tu auras quel âge ?).

    Alors j’ai mis la BO et j’ai écouté ton récit : c’était celui de chow se souvenant des femmes qui ont traversé sa vie solitaire (tu vois je ne cesse de douter ... de leur existence et même de la tienne). Des souvenirs trop lourds pour qu’il puisse aller de l’avant. Il reste immobile regrettant son passé (ou son présent) tourmenté : « Un amour rencontré trop tôt ou trop tard ».. (probablement deux : un trop tôt et un trop tard me dicte mon exactitude à l'insu de mon incomplétude).

    Comme cet encens, ton cœur se consume Laseine, libérant le nuage de tes souvenirs à ceux qui veulent bien les humer (Voici une phrase Laseine. L'aimes-tu ? Retiens-la. J’aime cette générosité ou peut-être prétention (ou les deux à la fois). « Finesse ou finitude », les deux te conduisent inlassablement à l’agonie (encore une phrase Laseine pour toi qui, comme moi aime les phrases).

    Tu ne veux pas allumer la lampe parce que tu vois assez d’ombres, y’en a tellement que tu ne vois plus rien, mais


    الّضوء الأكثربعداً
    أقرب إلينا من الظّلام الأكثر قرباً


    La lumière la plus lointaine
    nous est plus proche
    que l'obscurité la plus proche


    المسافة غالباً ، خرافة


    La distance est souvent légende

    -----------------------------------


    Où que tu voyages
    où que tu te diriges
    tes entrailles sont les lieux les plus lointains

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  15. Laseine l'Ange,
    Je reviens souvent à ton poème un peu comme une sorte de prière à qui de droit. Ce soir, un soir comme tous les autres soirs. Ce soirs, tes mots deviennent miens et maintenant me faut dealer avec la vulnérabilité comme si elle n'était que le grand méchant dragon que l'on veut conquérir. Peut-être avons-nous encore des promesses et des souhaits à exaucer. Peut-être que la vie vaut mieux que ce qu'elle nous reflète. Ce soir, la bande repasse et les mots s'éparpillent.
    Affectueusement à toi l'Ange qui sait nous toucher et nous sortir des mutismes dans lesquels nous survisons.
    Thousand mwahs

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  16. pourquoi la tristesse esr toujours plus belle et plus fascinante.
    bravo Laseine

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  17. je suis désolé, mais la tristesse est une affaire de personnes faibles,
    un caractère fort ne dépend que de lui-même, l'amour fusionnel ne vise que posséder quelqu'un et l'enfermer dans une cage, on veut posséder quelqu'un quand on ne se possède pas soi-même, quand on a peur de la vie...
    de quoi avez-vous peur, bonnes gens ?
    cessez de cultiver les états d'âme morbides ! restez fiers et forts devant les absurdités de la vie (comme la malchance en amour )! ce qui est absurde, on le laisse de côté, s'y attacher serait encore plus absurde,non ? la souffrance n'est qu'un mythe, elle n'existe que tant que nous nous complaisons à lui faire place !

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  18. je suis désolé, mais la tristesse est une affaire de personnes faibles,
    un caractère fort ne dépend que de lui-même, l'amour fusionnel ne vise que posséder quelqu'un et l'enfermer dans une cage, on veut posséder quelqu'un quand on ne se possède pas soi-même, quand on a peur de la vie...
    de quoi avez-vous peur, bonnes gens ?
    cessez de cultiver les états d'âme morbides ! restez fiers et forts devant les absurdités de la vie (comme la malchance en amour )! ce qui est absurde, on le laisse de côté, s'y attacher serait encore plus absurde,non ? la souffrance n'est qu'un mythe, elle n'existe que tant que nous nous complaisons à lui faire place !

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  19. caricature-de-moi-même12 février 2006 à 07:04

    C'est vrai bus spencer qu'on se sent très fort derrière l'anonymat !
    Tristesse ? Vous êtes nombreux à parler de tristesse et s'il ne s'agissait que de mélancolie ? voulue, recherchée, belle ?

    "on veut posséder quelqu'un quand on ne se possède pas soi-même, quand on a peur de la vie..."
    Se possèder soi-même ! quelle idée ! ... pour ne pas avoir peur de la vie ... humm ... un point de vue
    Mais moi personnellement je préfère ne rien posséder (y compris moi-même) pour ne pas être possédée.

    Quant à ne pas avoir peur de la vie, il faut d'abord cesser d'avoir peur de la mort, de taxer tout ce qui nous destabilise ou nous renvoit à nous-même de morbide de faiblard. Je ne vois pas ce que cette intruse de fierté vient faire par là ? elle est certainement mal placée.
    Et puis ... On peut être n'importe quoi ... et être fier de l'être.

    "la souffrance n'est qu'un mythe" c'est vrai, comme tout le reste ... la joie, le bonheur, vous, moi, lui ...
    Qu'est-ce un mythe ?
    Où es-tu Amud ? qu'en penses-tu ?

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